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Acheter un bien immobilier : 5 idées reçues à jeter aux oubliettes

Ça y est, vous avez pris votre décision et souhaitez devenir propriétaire. Comme la majorité des ménages concernés, pour donner vie à votre projet, vos recherches démarrent sur internet. Or, sur le web, il est important de savoir démêler le vrai du faux, les vraies infos des fake news. En effet, le secteur de l’immobilier est un domaine pour lequel de fausses données persistent. Pour acheter un bien immobilier à La Montagne sereinement, voici 5 idées reçues à combattre.

1. Acheter un bien immobilier à La Montagne est un parcours semé d’embûches

Certes, ce n’est pas tout de repos d’acheter un bien immobilier à La Montagne. Il faut évaluer votre budget, parcourir les annonces, effectuer les visites. C’est un travail de longue haleine qui requiert une planification rigoureuse. Malgré toutes ces tâches, 69 % des acquéreurs ne vivent pas cela comme une contrainte selon l’Observatoire du moral immobilier. Tout dépend de la façon dont vous abordez ce projet, et si vous êtes épaulé par un professionnel immobilier.

2. Seule votre banque peut consentir un prêt immobilier

Les acheteurs ont tendance à se tourner vers leur banque pour acheter un bien immobilier à La Montagne. Ils y souscrivent un crédit immobilier, car ils y ont déjà leurs habitudes. Or, rien ne vous y oblige à établir votre plan de financement chez votre banquier. En effet, vous pouvez emprunter dans n’importe quelle banque, avec l’optique que celle-ci vous offre des conditions plus intéressantes, notamment le taux d’intérêt. Pour vous aider à choisir les meilleures offres, vous pouvez faire appel à un courtier qui se chargera de comparer les organismes financiers.

3. Un apport est nécessaire pour réaliser un emprunt immobilier

Acheter un bien immobilier à La Montagne sans apport est impossible. Ceci est encore une idée reçue. Effectivement, beaucoup de banques demandent un versement correspondant à 10 % du prix d’acquisition. Il s’agit pour elles de s’assurer que vous savez épargner. Toutefois, ce n’est pas le cas de tous les organismes bancaires. Certains vous prêteront la totalité de la somme pour plusieurs raisons :

  • C’est un investissement locatif ;
  • Vous êtes un client fidèle ;
  • Vous venez de vous lancer dans la vie active, par conséquent vous ne possédez pas une épargne.

Sachez qu’il est possible de prévoir un budget d’acquisition sans apport.

acheter un bien immobilier à La Montagne

4. Acheter un bien immobilier neuf est plus onéreux qu’acheter un logement ancien

Si vous faites un achat en VEFA, le coût est plus élevé que celui d’un bien ancien pour la même surface. Pour un logement neuf, la TVA s’applique. Ceci est vrai sur le court terme. Il est à noter que les frais de notaire sont moins importants, 2 % à 3 % contre 6 % à 8 % dans l’ancien. De plus, les résidences neuves sont construites avec des matériaux permettant une bonne isolation, donc un meilleur diagnostic de performance énergétique. Ce qui signifie des charges moins élevées. Les équipements sont neufs, par conséquent aucuns travaux ne sont à prévoir pendant quelques années. De plus, vous êtes exonéré du paiement de la taxe foncière les deux premières années.

5. L’acquisition d’un logement ancien ne permet pas l’obtention d’un prêt aidé

Pour bénéficier des prêts aidés, vous devez obligatoirement acheter un bien immobilier à La Montagne dans le neuf. Ceci est faux. Ces aides ne concernent pas que les logements neufs, en revanche elles sont attribuées à des acheteurs dont c’est le premier achat (primo-accédants) et dont c’est la résidence principale. Par ailleurs, pour l’obtention du prêt zéro, des conditions de ressources sont nécessaires. De même, la rénovation du bien doit lui permettre d’être considéré comme neuf. Sachez que si vous n’êtes pas éligible, il existe d’autres aides comme le prêt d’accession sociale, le prêt Action logement, le prêt fonctionnaire…

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Stephanie Guémené

Après une expérience de 12 ans au sein de départements commerciaux au sein de grandes entreprises, j'ai pris la décision en 2012 de rejoindre mon mari pour contribuer au développement du cabinet, en me concentrant sur le volet commercial. Mon engagement envers l'immobilier et ma passion pour les interactions humaines ont trouvé leur expression idéale dans la Transaction Vente. C'est ainsi que j'ai pu épanouir pleinement ma carrière au quotidien.
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Après une expérience de 12 ans au sein de départements commerciaux au sein de grandes entreprises, j'ai pris la décision en 2012 de rejoindre mon mari pour contribuer au développement du cabinet, en me concentrant sur le volet commercial. Mon engagement envers l'immobilier et ma passion pour les interactions humaines ont trouvé leur expression idéale dans la Transaction Vente. C'est ainsi que j'ai pu épanouir pleinement ma carrière au quotidien.

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